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Bonjour cher ex membre de ce forum RPG qui à autre fois été autant animé.
Ce qui est triste puisque à mon avis il y avait un tres belle ambiance ici.
Cela dit, un nouveau forum en remplacement de celui-ci à ouvert ces portes
il y à a peine une semaine et déja nous avons plus de 80 membres actifs!
Donc je vous appel vous, amincien Columbiens et Columbiennes pour nous
y rejoindre! J'èspère vous y voir en grand nombre!
Bienvenue dans CHICACO DREAM SCHOOL, un endroit où il
fait bon vivre. Si toi aussi tu rêves de devenir un vrai artiste alors postule dans
cette célèbre école artistique, Chicago-High en Californie. De milieux sociaux divers
y sont acceptés. Il te suffit d’être bon dans un domaine : La musique, le chant, la
comédie, la danse ou le basket et te voila parmi nous après les épreuves de
sélections. Tu devras faire tes preuves si tu veux devenir quelqu’un dans ce
campus. Tout repose sur les valeurs fondamentales du genre : le rythme, le
combat, des espoirs et des déceptions, le tout avec un sens aigu de passion.
Ce campus est aussi connue pour ses diverses activités. Les filles et les garçons
sont logés dans des villas à l’extérieur du campus et séparés. Pour les troisième
années des appartements ou maisons sont mis à leur dispositions s'ils souhaitent
ne plus vivre dans le campus, logements loués par le campus et mixte. Comme
dans tous les campus, drogue, sexe, amour, trahison, amitié et tout ce qui va avec
en font partie, à toi de choisir ton camp. Alors félicitations ! Te voila parmi nous, et
un seul mot d’ordre est notre devise : Le travail. Pour tous les élèves, c’est la
rentrée après trois mois de vacances.
Alors bon courage à vous !
[center]http://chicago-dream-school.forums-actifs.com
http://chicago-dream-school.forums-actifs.com
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Merci à vous, Hayden. |
| | Jane Katherine Summers ♦♦ 00% | |
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+2Dylan St-Laurent Beejay swan Travalovich 6 participants | Auteur | Message |
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Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: Jane Katherine Summers ♦♦ 00% Mer 14 Oct - 19:25 | |
| — My personality reflects a mentality*
Physical appearance and clothing style; « écrire ici le physique du personnage ainsi que son style vestimentaire en 5lignes mimimum. N'hésiter pas à faire des détails afin de vous donnez plus de lignes. Décrivez ce qui vous semble le plus important à savoir pour nous présenter son apparence. » Character of the person « écrire ici la façon d'être du personnage, décrire ses qualités, ainsi que ses défauts en 5lignes minimum afin que nous puissions en savoir d'avantage sur lui, et pouvoir connaître son caractère, ses façons d'agir. »— Behind a face this mask so many stories*
History of the person; « écrire ici l'histoire de votre personnage en 10lignes minmum en racontant sa vie à partir de sa naissance, ou encore la rencontre de ses parents jusqu'à aujourd'hui en parlant des différentes étapes de sa vie. Pourquoi avoir débarquer à New-York également, etc. Maintenant, pas besoin de décrire sa maison non plus ni ses parents svp. » Love relations; « écrire ici la vie amoureuse du personnage en 4lignes minimum. Raconter, par exemple, sa premier histoire d'amour pour commencer et expliquer à présent si vous recherchez l'amour ou plutôt des histoires d'un soir. » Friendly relations; « écrire ici les relations amicales du personnage en 4lignes minimum. Si votre personnage est un prédéfinis demander par un membre ou par le forum et que des relations amicales sont données, inscrivait-les ici, en détaillant par vous-même si c'est indiqué. »— I can nothing if i am perfect !*
Celebrity of the avatar; « écrire ici la célébrité que vous avez choisis de prendre pour joeur sur le forum. Nous rappelons qu'une star est autorisé à être prise deux fois maximum. » Why this choice; « écrire ici pourquoi avoir pris cette célébrité et pas une autre en quelques lignes, ou un mot, c'est à vous de voir. »
Dernière édition par Jane K. Summers le Mer 14 Oct - 20:30, édité 1 fois |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Jane Katherine Summers ♦♦ 00% Mer 14 Oct - 19:25 | |
| — You who to tap one the computeur to have fills out this card. Who are you thus my friend ?*
Pseudonyme; « Sisi-Fallen-Angel (a). » From which do you come; « Sud de la France » Your old; « 17 ans dans moins de trois mois <33. » Fille ou garçon; « Une girlii'z avec ses qualités et ses défaults (a) » Comment as-tu connu Columbia; « Grâce à SONY » Comment le trouves-tu; « MA-GNI-FIQUE . » Pourquoi t'être inscrit; « Tout d'abord, j'aime énormément le design, cup de coeur <3. Ensuite, beaucoup d'activité et de membres, ce qui m'a plus aussi. Le fait que deux vavas soit autorisés et surtout que Nina Dobrev soit libre parce que je ne peux m'en détacher ne serait ce que pour un forum Quand j'ai vu que le forum me plaisait et qu'elle, elle était libre, j'ai tout de suite foncé. Que demande le peuple ? » Exemple de rp; - Spoiler:
« Ne bougeant pas, Prudence avait trouvé une petite passion, depuis quelques temps déja : étudier les réactions d'Aidan Williams. Elle aimait voir comment il réagissait par rapport à certaines situations, à certains faits, à certaines paroles. Elle était vraiment curieuse à son sujet, fascinée, parce qu'il ne réagissait jamais comme les autres. Il était différent, dans la moindre de ses paroles. Tous croyaient qu'ils devaient se méfier des gens comme Aidan, ou elle, parce qu'ils étaient simplement catalogués dans le groupe "les pas net". Et pourtant, elle était certaine que, si il existait une personne en qui elle ne pouvait avoir que confiance, c'était bien Aidan. Et ça lui plaisait. Seulement, tout s'embrouillait dans sa tête, elle avait peur, peur pour la bonne et simple raison qu'elle croyait que les émotions qu'elle ressentait à son égard pouvait lui embrumait son point de vue. Avant, elle ne s'attachait à personne, alors forcément, elle avait un point de vue tout à fait objectif. Mais là, elle savait qu'elle devait faire attention. Prenons un exemple. Les femmes qui se font battre par leur mari depuis des années ne les quittent jamais, et pourquoi ? Parce qu'elles sont persuadées qu'ils les aiment encore, que ce n'est qu'une passade, qu'elles doivent rester près d'eux, parce que c'est " quelqu'un de bien ". Parce qu'elles y sont attachés. Voilà pourquoi Prue refusait la dépendance à une personne. Cependant, elle savait que ses pensées à son égard n'obscurcissaient pas son jugement. C'était quelqu'un de bien. Bref, elle l'observait. Il était évident qu'elle ne lui dirait jamais, sauf si un jour, elle voulait se faire passer pour une folle furieuse fétichiste qui, en le cotoyant, n'avait qu'un seul but : lui couper un bout de bras ou un bout de pied pour le rajouter dans sa jolie colection dans le garage x).
Derrière ses apparences de jolie blonde qui a toujours le sourire, et qui veut aider tout le monde, Prudence était une fille qui avait peur de tout et de rien, et surtout, qui était méfiante avec tout le monde. C'était bien pour ça qu'elle était distante, solitaire, et qu'elle envoyait balader tous ceux qui oser s'approcher d'elle. Elle n'y pouvait rien, une peur, on s'en débarasser pas comme ça, il fallait beaucoup de temps, d'efforts, et surtout, un petit déclic, celui qui vous donne le courage ne serait ce que l'espace d'un instant, juste pour réussir à faire le premier pas et aller vers une personne. Elle pensait ne jamais l'avoir, et pourtant, elle s'attachait à Aidan, une chose qu'elle s'était promit de ne jamais faire, et elle ne culpabilisait pas autant qu'elle ne l'aurait pensé, vue que d'un côté, c'était extremement agréable, elle devait l'avouer. Jusque là, elle n'avait autorisé personne. Dans la fierté, il y a comme une balance. Quand vous vivez de mauvaises choses, elle descent, plus ou moins intensémment selon la nature de vos problèmes et aussi selon votre caractère et votre fragilité. Quand vous en vivez des bonnes, elle remonte. Lorsque l'on est completement en bas, on dit qu'on ne peut que remonter. Prue n'est pas d'accord. Elle était completement en bas, et la moindre petite trahison, le moindre poid qui pouvait ressembler à celui d'une plume, la fairait completement sombrer, elle en était conciente. Elle ne preferait donc pas tenter le diable en cherchant quelque chose pour remonter la balance, de peur de la descendre encore plus bas. Alors, elle preferait vivre ainsi. En tout cas, c'était ce qu'elle pensait avant de venir à New York. Avant de rencontrer Aidan dans l'aéroport.
C'était sans doute la rencontre dont elle se souviendrait toute sa vie, vue qu'elle était peu banale. Rien qu'en arrivant, elle avait finit au commisariat. Bienvenue à New York ! --'. La relation qui avait suivit était encore moins banale. La chose interessante dans tout ça, c'est qu'ils avaient beau se disputer sur tout et sur rien, 10 minutes après, c'était comme si il ne s'était rien passé. Et c'était agréable. Elle savait que ce n'était pas parce qu'ils n'avaient pas assez de courage pour présenter les escuses, non, ce n'était pas ça, elle en était sûre et certaine. C'était parce qu'ils étaient comme ça, parce que pour eux, se disputaient faisaient partit de leur relation, et qu'ils n'avaient pas besoin de faire des plates escuses superficielles et forcées pour savoir qu'ils étaient pardonnés. C'était une relation étrangement fusionelle. Et ça lui plaisait. Peut-être même un peu trop. Bon, soyons franches, elle avait déja imaginé si ça se passait mal. Si comme toute amitié, il y avait des problèmes : ils s'approcheraient, deviendraient inséparables, pendant des mois, puis un jour, couteau dans le dos. Elle se sentait honteuse de penser ça, mais elle était sincère avec sa concience. Elle avait toujours imaginé si, finalement, avec Aidan, ça se passait comme avec tous les gens avec qui elle avait tisser des liens dans le passé. Et pourtant, elle n'y croyait plus. C'était bien la première fois où elle ne se montrait plus méfiante, où elle avait vraiment confiance à 100%, car, elle en était parfaitement conciente, elle faisait confiance à Aidan. ça pouvait être vu comme banal, après tout, on fait confiance à ses amis, ses proches, sa famille, ... A des quarantaines de gens même parfois. Chez Prudence, ça l'était moins. Elle ne faisait confiance à personne. Ho c'est sûr, il y avait quelques exceptions, comme Shane, Lana, Sky, deux trois personnes par ci par là, qui se comptent sur les doigts d'une main, des personnes à qui elle commençait, tout doucement, à donner sa confiance. L'Aidan, lui, l'avait tout entière et, malgré qu'elle fasse l'autruche en se le cachant à elle-même, il l'avait quasiment depuis le début. Elle se sentait faible parfois à penser à ça. La question de confiance était toujours une longue histoire avec elle.
C'est certain que son passé n'avait jamais été joyeux. Ses parents, inutile d'essayer de faire confiance, enfin, quand ils étaient là, déjà. Ce qui n'était pas le cas de son père. Elle avait déja essayé de l'imaginer d'ailleurs, en vain. Sa mère, elle était là, enfin, physiquement, en tout cas. Et tout particulièrement pour les hommes, des dealeurs de drogue en général, ou bien des alcooliques, des hommes qui ont fait que 4 ans de prison, avec un peu de chance, qui profitaient de son lit, et d'autre chose aussi, même si elle ne preferait pas se mettre de mauvaises images dans la tête. Les seules choses qu'elles se souvenaient à leurs sujet, c'était les fois où elle sortait rarement de sa chambre pour aller chercher à manger, puisqu'elle restait enfermé des nuits et des journées entières de peur de les croiser, ou pour prendre un verre d'eau. Elle se souvenait parfois des coups qu'elle prenait. Mais l'avantage, c'était qu'ils ne restaient pas longtemps. L'inconvénient, c'est qu'ils étaient vite remplacés par d'autres. Mais ça, c'était terminé à présent, puisque sa mère et ses prétendants étaient restés à Windsor. Ensuite, les amis, c'était toujours équivalent à trahison pour elle. Sauf une fois, un homme d'une quarantaine d'année. Mais elle n'avait pas eu le temps ne serait ce que de lui dire au revoir puisque c'était à l'époque où elle était devenue completement orpheline, malgré que cela faisait déja longtemps qu'elle l'était, et qu'on l'avait arraché de son environnement. Elle n'avait jamais oublié non plus l'époque où elle s'était fait enlevé, lorsqu'elle avait 12 ans, un peu avant que sa mère meurt. Une rencontre avec un pédophile dans l'enfance ne donne pas forcément envie de donner confiance par la suite. Après, plus les problèmes s'enchainent, moins vous faites confiance. Logique. Mais il arrive un moment où vous ne pouvez pas revenir en arrière, où vous comprenez alors que vous ne fairez plus jamais confiance à personne. Et c'est là que ça fait mal, quand on prend la vérité à bras le corps. C'est à ce moment là qu'on s'achève tout seul, en général. Il y en a pas beaucoup qui ont vécu ce moment dans leur vie, Prue en fait partie. Et elle était certaine qu'Aidan aussi, ça se voyait. Et franchement, malgré que ce petit point commun les rapprochait, cela ne lui plaisait pas. L'idée qu'il ai beaucoup souffert dans son passé, le pire étant qu'elle ne savait même pas comment, la torturait. A présent, elle savait qu'elle voulait tout savoir de lui, elle aurait voulu connaitre les moindres détails de sa vie. Comprendre, savoir, se rapprocher de lui. Elle ne savait pas comment faire, sans le faire fuir, parce qu'elle savait très bien que la curiosité était un vilain défault, dans tous les sens du terme, et que cela pouvait être 'fatal' dans un sens.
« Oui … C’est bien ça le problème. » Entendant le murmure du jeune Williams, Prue reposa son regard cristal sur lui. Elle n'était pas vraiment sûr d'avoir bien entendu, dans la mesure où il avait parlé d'une voix assez basse. En tout cas, si c'était bien ça, il avait raison. Elle fit un petit hochement de tête, d'une part parce qu'elle était d'accord et qu'elle ne pouvait rien ajouter à cette simple vérité, d'autre part parce qu'elle n'était pas vraiment sûr que ça soit bien ce qu'elle ai entendu. Revenant à son passe temps préféré - l'observer - elle reposa discrètement sur lui, et le vit se frotter le front soucieusement. Tout de suite, elle se posa la question banale : Pourquoi ? Etait-il en train de culpabiliser d'avoir dit ou fait quelque chose ? Etait-il en train de penser à un mauvais souvenir qui le préocuppait ? Elle voulu lui demander, mais pour une fois, elle réussit à s'empêcher de poser une question. Elle avait réussit à se gérer, sortez le champagne x). Elle ne voulait pas le brusquer, elle ne voulait pas qu'il se renferme dans sa coquille. Elle avait desesperement besoin de savoir ce qu'il avait vécu, ce qu'il ressentait. Elle avait besoin de sa présence, et elle s'en rendait compte de jour en jour. Elle se posait tellement de questions sur sa vie. Sa famille - à part son père bien entendu - était-elle généreuse avec lui ? Avait-il un frère avec qui il s'amusait à se battre lorsqu'il avait 10 ans ? Une soeur qui s'amusait à lui vollait ses affaire, à s'informer sur ses histoires de coeur ? Et, justement, avait-il vécu des histoires longues ? En vivait-il justement une en ce moment ? Les questions, dans son esprit, commençaient à prendre le large vers un sujet assez épineux, qui la poussait à culpabiliser. Qu'est ce qui lui prenait de s'interesser à sa vie amoureuse.
Une fois levée, Prue marcha dans le silence. Qu'ils parlent ou non, elle se sentait bien avec lui. Avec les autres, elle parlait rarement. Le silence était presque génant, et lorsqu'elle se décidait à parler, c'était soit pour repousser la personne concernée, soit pour dire deux trois mots arrachés, et encore, elle surveillait ses paroles, parce qu'elle savait très bien que lorsqu'elle parlait, ses mots allaient bien plus vite que son cerveau. Avec Aidan, qu'elle parle ou non, elle ne sentait pas cette pression, celle qui la poussait à être quelqu'un d'autre, celle qui la poussait à se renfermer, à faire attention. C'était peut-être pour ça qu'elle se laissait aller de plus en plus et qu'elle était encore plus sincère qu'à la normal. Allez savoir. En tout cas elle se sentait tellement apaisée. Comme si les choses allaient s'arranger, comme si tout ce qu'elle avait vécut n'était qu'un mauvais souvenir. Alors que, lorsqu'il était absent, le passé la sumergeait, l'étouffait. Si tout pouvait être aussi simple. Lorsqu'elle se rendit compte, en parlant à Aidan, qu'elle était allé trop loin, ça lui fit mal. Elle avait peur de faire un faux pas. Surtout qu'elle avait tendance à trop se laisser aller avec lui. Peut-être, en y reflechissant, que c'était une mauvaise idée, vue que son caractère était difficilement supportable. Il ne s'en rendait pas compte maintenant, mais sans doute plus tard, encore plus vite si elle se laissait aller. Elle le vit alors se renfermer completement. Ses yeux s'assombrirent, et elle le vit rester silencieuse. Conciente que sa langue avait agit plus vite que son cerveau - pour changer me diriez vous - elle se mordit légèrement la lèvre, faisant une très légère grimace à peine perceptible comme une petite fille qui venait de casser la fenêtre de la chambre de ses parents en jouant au base-ball avec sa meilleure amie dans le jardin x). Elle lui précisa, tandis qu'il prit une bouffée de fumée, qu'il n'était pas du tout obligée de répondre. Elle commençait à culpabiliser. Elle voulait vraiment savoir sa vie, mais pas au prix de le faire souffrir. Elle n'aurait jamais voulu ça. Elle avait sans doute toucher le point faible. C'est alors qu'elle entendit sa voix. Analysant doucement ses paroles, la jeune blonde continua de marcher près de lui, tandis qu'il remettait sa cigarette entre ses lèvres. Elle dit alors doucement :
« Tu les crains parce que tu as peur de te souvenir des bons moments qui ont disparus, de te dire qu'ils sont bien passés et qu'ils ne reviendront pas, ou bien parce que tu as peur de les revivre justement, mais tu sais que tu vas souffrir ou culpabiliser parce que cela ne sera plus jamais comme avant, comme tu te les imaginais ... C'est ça ? »
Elle voulait comprendre ce qu'il ressentait, ce qu'il vivait. Ne serait ce que pour être plus proche de lui. Et pour connaitre sa vie. C'était vraiment très étrange comme sentiment, elle n'avait jamais ressentit une curosité aussi assoiffée pour quiquonque. C'était tout nouveau comme sentiment, et pourtant, elle ne s'en lassait pas. Elle aimait ce besoin. Elle detestait la dépendance. C'était contradictoire. Mais après tout, ses sentiments étaient contradictoires en ce moment, avec Aidan, alors pourquoi s'arêter en si bon chemin, comme diraient d'autres ... Reposant son regard sur le jeune homme, relevant un peu la tête, elle vit son air pensif, comme si ses pensées remontaient loin, très loin, dans le passé, et qu'il allait s'y perdre. Elle vit son regard corbeau ce reposait sur elle : « Je … J’en ai jamais parlé à personne … C’est pas facile … Je ne veux pas que tu me vois … ». Il ne parlait déja plus. Mais elle avait comprit. Elle le comprenait toujours. Elle le regarda avec douceur, sans sentiment particuliers dans le regard. Elle ne l'avait jamais autant comprit qu'à ce moment là, et pourtant, Dieu savait à quel point elle l'avait toujours comprit depuis qu'ils s'étaient rencontrés. Jamais elle n'aurait pitié de lui, c'était impossible pour elle. Elle l'admirait trop pour cela. Et n'importe quel élément de son passé ne pouvait changer cela. Elle ne voulait pas que le chagrin le rattrape, elle voulait lui montrer qu'elle était là, elle voulait tellement de choses. Elle ne se sentait pas capable de tout ça, elle n'était pas à la hauteur. Mais elle allait essayer, ça c'était sûr. Elle le regarda de nouveau puis finit par dire avec douceur et sincérité :
« Aidan ... Je veux que tu saches que tu n'ai pas vraiment obligé de m'en parler, je suis juste curieuse ... Avec toi. C'est pas de la curiosité malsaine. Je sais ce que tu ressens, mais si tu as peur d'être 'toi-même' quand je suis là, ou de craquer ... Ben je veux que tu saches que je ne te jugerais pas ... Et que je serais toujours là. Tu peux me dire ce que tu veux, craquer, je serais toujours là ... Tu resteras toujours Aidan pour moi. Ni plus ni moins. Et cet Aidan ... Je l'admire, tu sais. Je sais qui tu es, moi ... »
Lorsqu'il parlait de son père, elle sentait la rancoeur qu'il éprouvait à son égard. Elle avait vite comprit pourquoi lorsqu'il parlait de plus en plus sur lui. Ce qui était sûr, c'était qu'Aidan n'était pas comme son père, et le dicton tel père tel fils ne s'appliquait pas du tout dans ce cas là, elle en était heureuse. Détruire quelqu'un de bien, son fils qui plus est, c'était le pire crime qu'on pouvait comettre. Grâce à ce déménagement, il n'était pas détruit. Pas completement. Elle en était persuadée, et cela lui donnait de l'espoir. Pour une fois, elle aimait ne serait ce qu'un tout petite peu son père, mais vraiment un petit peu : il a eu la magnifique idée de l'envoyer dans une ville qui se trouvait loin de lui. Prue n'avait jamais eu de père, mais elle sentait la souffrance d'Aidan qui était bien pire qu'elle, elle preferait ne pas avoir de père du tout, plutôt que d'en avoir un qui la faisait souffrir. « Non ; pas vraiment. A vrai dire … J’ai jamais vraiment eut le sentiment d’avoir un père. Cet homme froid ; indisponible ; distant … Ce n’était - et est encore aujourd’hui - qu’un étranger, qui n’a jamais réalisé qu’il avait fondé une famille dont il était censé être le pilier. ». Elle sentit tellement de dégouts pour le paternel du jeune homme à présent, avec tout ce qu'il avait pu lui faire enduré tout le long de son enfance, que sa langue rapide fit encore mouche et qu'elle s'entendit dire :
« C'est stupide »
Cette phrase était sortit toute seule. Elle se sentait elle-même stupide à ce moment là. Il le savait, que c'était stupide. Il l'avait vécu. Elle aurait pu trouver quelque chose de plus intelligent à dire mais non, elle pensait cette phrase tellement fort qu'elle était sortit sans qu'elle s'en rende compte. ça allait pas l'aider, ça. Quel soutient --' . « Non ; pas vraiment. A vrai dire … J’ai jamais vraiment eut le sentiment d’avoir un père. Cet homme froid ; indisponible ; distant … Ce n’était - et est encore aujourd’hui - qu’un étranger, qui n’a jamais réalisé qu’il avait fondé une famille dont il était censé être le pilier. » C'est bien la première fois qu'elle était vraiment heureuse que son père ai prit ses cliques et ses claques avant même qu'elle ai eu le temps de dire "Coucou, je suis là". Elle avait envie d'appaiser Aidan, mais elle ne trouvait pas les mots, tout ce qu'elle savait dire, c'était la vérité, et ce qu'elle pensait. Elle n'avait jamais réussit à arranger les choses à une sauce du bonheur pour remonter le moral. Alors, elle fit ce qu'elle savait faire, elle dit la vérité :
« T'as pas du avoir une vie facile ... »
Elle avait dit ça simplement. Elle ne ressentait aucune compassion ou pitié à son égard. Juste de la souffrance, parce qu'elle savait que lui avait souffert, et ça, ça ne lui plaisait pas. Elle ressentait une pointe de colère aussi. Pas envers lui, bien sûr que non. Mais envers la vie. Qu'elle souffre, d'accord, elle le méritait dans un sens, ou peut-être pas, elle n'en savait rien, mais elle ne tolérait pas qu'une personne comme Aidan souffre. C'était intolérable, un point c'est tout. Ensuite, il lui retourna la question. Elle attendit un peu, cherchant comment dire, comment faire, comment expliquer, ... Elle alla rapidemment dans les explications, non pas parce qu'elle n'avait pas confiance en lui, pas du tout. ça ne la dérangeait pas non plus, à vrai dire. Elle testait juste. Elle ne se sentait pas capable de tout dire d'un coup. Petit à petit, elle verrait, mais tout d'un coup, c'était pas possible. « Donc tu te sens ne serait -ce … qu’un peu à ta place ici ? ». Elle n'y avait vraiment reflechit. Elle laissa ses pensées la sumergeaient un petit instant sans rien dire. Elle reflechissait à sa question. Ici, elle avait un peu perdu ses repères, mais elle avait l'habitude de les perdre, entre l'orphelinat, les déménagements, l'hopital, ... C'était pas la première fois. Puis au moins, ici, elle avait trouvé une personne qui était sur la même longueur d'onde avec elle. Cette pensée lui tira un très très léger sourire. Elle finit alors par dire :
« Peut-être un petit peu ... Plus qu'à Windsor, je pense. »
Sincérité, sincérité, comme toujours. Elle continua sa marche en lui disant que sa vie était loin d'être interessante. Vraiment pas du tout interessante, voilà une chose dont elle était sûr et certaine. C'est alors qu'elle s'arêta net, voyant qu'il venait de lui couper la route pour se positioner juste devant elle, l'empêchant ainsi d'avancer. Elle leva le regard vers lui, légèrement perplexe. « Prudence … Ta vie … Elle m’intéresse. Je … Ca me permet de te comprendre mieux. Je me pose tellement de questions à ton sujets ; tu peux même pas imaginer. J’ai envie de tout savoir, mais en même temps … Je ne sais pas poser les bonnes questions. J’ai peur de te blesser … Je ne sais pas pourquoi. » Elle resta estomaquée. Tandis qu'elle fixait ses yeux, elle n'arriva à rien dire. Elle était vraiment surprise, par le fait qu'il venait de lui dire ça, et en plus, parce qu'elle avait l'impression de s'entendre penser. Elle pensait ça au sujet d'Aidan. Elle se rendit encore plus compte à quel point ils étaient sur la même longueur d'onde, à présent. Elle fut légèrement intimidée, elle finit par reprendre la parole : « Je ... Je pense la même chose à ton sujet ... J'aimerais vraiment savoir ce que tu as vécu, ce que tu as pu faire, les choses que je ne sais pas à ton sujet, qu'elles soient bonnes ou mauvaise ... mais ... Je n'arrive pas à l'expliquer, je sais pas ... J'ai peur d'aller trop loin .. De te faire fuir. Que tu disparaisses, parce que j'ai dépassé les limites. » Comment réussir à expliquer, elle n'avait pas la moindre idée. Elle n'y arrivait pas. Voilà comment elle se débrouillait. Elle se sentait comme une gamine en face de lui, et elle parlait pas de la taille. Toujours les yeux dans les siens, elle les sentit alors brûler par le contact, mais cette sensation disparu lorsque le regard du jeune homme la quitta pour observer tout d'un coup le sol avec une attention nouvelle. Elle reprit doucement ses esprits sans rien dire. « Ah … qu’est-ce qui me prend … Je sais plus ce que je raconte … ». Elle ne l'avait jamais sentie aussi perdu. Cette sensation la perdit aussi, et elle se sentit légèrement paniquée à ce moment là. Elle sentait ses sentiments grandirent et naviguaient vers quelque chose qui la terrifiait comme jamais. Elle avait peur de tout, tout d'un coup, elle se sentait dans un espace inconnu. Elle voulait lui dire qu'elle serait toujours là, qu'elle ne voulait pas partir, elle ne savait pas du tout pourquoi elle avait envie de dire ça d'un coup, mais elle voulait lui avouer que jamais il ne la fairait souffrir, tant qu'il restait près d'elle. Elle posa alors instinctivement sa main sur son bras et chercha son regard, c'était peut-être une mauvaise idée parce qu'elle perdait tout courage face à ce regard, le seul qui la destabilisait d'ailleurs, mais elle le fit quand même :
« Aidan .. Regardes moi. Je suis ... Je ne suis pas celle que tu crois. Je suis pas celle que je laisse paraitre. Je suis faible, je suis lâche, je suis pas si forte qu'on peut le croire. J'apporte plus de mauvaises choses que de bonnes ... Je sais que je mens un peu en montrant une autre que je suis, mais je crois ... Que je souffrirais moins comme ça. C'est plus facile de se cacher derrière une apparence plutôt que montrer ce qu'on est vraiment ou ce dont on a peur ... » Elle se sentait tellement faible d'un coup. Comme si elle s'était dévoilée à Aidan d'un seul coup, comme si elle voulait lui reveler qui elle était, celle que personne n'avait jamais vraiment vu. Sans le faire fuir. C'était dur de conciller ses deux. Elle savait très bien que si il disparaissait alors qu'ils s'étaient engoufré dans une relation encore plus fusionelle qu'à ce moment là, elle ne s'en relèverait pas, elle en était plus que persuadée. Mais elle ne voulait pas qu'il parte, ça non. C'était trop tard. Se rendant compte qu'elle le fixait dans les yeux et, surtout, que sa main était toujours posée sur son bras, elle ne dit rien. Elle retira sa main comme si un élan de sincérité l'avait encore possédé et qu'elle avait fait une bétise : « Ho eu ... Désolé »
Souvent, voir tout le temps, les gens vous disent ce que vous devez faire. Comment vous devez être. Ce qu'il faut éviter. Il y a toujours des préjugés, des modèles, des moules formés par la société qui vous menera à la baguette, au risque de vous menacer d'être exclu du 'groupe'. La grande peur des gens, c'était la solitude. Ne pas se sentir comme tout le monde, être rejettée, être celui ou celle que personne ne comprends. Alors, forcément, lorsque vous avez choisit ce mode de vie de votre plein gré, vous êtes vu comme un extraterestre, tout simplement parce que vous ne pensez pas comme les autres, parce que vous ne recherchez pas les mêmes choses, les mêmes sensations, les mêmes personnes. Etait ce si mal de se montrer quel que l'on est ? Visiblement, oui. Chaque personne est différente, et le caractère de chaque individu est formé par le biais de plusieurs éléments pas si distincts que ça : l'histoire, les choses qu'il a vécu, les personnes qu'il a rencontré, les évènements ou les rencontres qui l'ont influencés, les détails qui l'ont marqué, ... Chaque caractère est le fruit de plusieurs années de vie. Plus on grandit, plus il se définit. Jamais assez, cependant. Certaines personnes étaient vues comme pas normales juste parce qu'ils avaient vécu des choses plus intenses que les autres, parce qu'ils avaient murit trop vite. Etait ce leur faute ? Non, pas vraiment. Mais c'était comme ça. Qu'on vienne pas l'approcher, cela lui était égale. Elle s'en fichait comme d'une gigne, et plus que ça, c'était ce qu'elle recherchait. Elle voulait vivre loin de tout, malheureusement, certains trouvaient le moyen et l'escuse d'aller la chercher au fond de son trou. C'est ce genre de personne qui iraient se plaindre du caractère trempé de la jolie blonde après. Ils cherchent les problèmes et une fois qu'ils les ont trouvés, ils pleurent et ils se plaignent. Pitoyable. Et c'était ce genre de personne qui était considéré comme 'normal'. Une fois de plus, Prue et le reste des étudiants - mis à part Aidan - n'avaient pas les mêmes valeurs.
Bref, donc comme je disais, chacun avait une histoire différente, on ne pouvait donc pas juger le passé d'une personne sans le connaitre, dieu seul savait ce qui s'était passé, et des fois, c'était pas vraiment joli à voir. Bien sûr, on oublie pas, c'est impossible d'oublier quelque chose qui a changé votre caractère, qui vous a ajouté des craintes. Mais qu'Aidan se rassure à ce sujet, elle n'était pas encore totalement térorisée au point de croire que tous les hommes étaient de véritable soûlards qui s'endormaient devant la télévision avec des paquets de chips un peu partout et des bières vides qui trainent sur le sol x). Non pas qu'elle soit totalement sans craintes, mais elle encore une marge de tolérance de ce côté là - surtout pour Aidan. Elle lui faisait totalement confiance, et ce fait l'effrayait plus qu'il n'était neccessaire. Ce n'était pas sa faute à lui, c'était la sienne. Elle avait peur de ce qu'elle pouvait ressentir, de comment elle pouvait réagir. Déja, lorsqu'elle ne faisait pas confiance à une personne, elle disait le fond de sa pensée. Elle ne preferait même pas savoir ce que c'était lorsqu'elle était avec une personne qui detennait sa confiance absolue ... Enfin, si, elle le savait déja. Elle en avait eu un petit échantillon et à vrai dire, cela lui faisait peur. Elle voulait tellement tout savoir sur lui qu'elle le fusillait de questions, elle n'arrivait pas à s'en empêcher. Elle ne savait pas comment il allait réagir, laquelle de ses questions seraient trop indiscrètes, celle qui serait la goute d'eau qui fairait déborder le vase, et qui le fairait fuir. Le point principal, c'était qu'elle n'avait plus l'habitude d'être attaché à quelqu'un, elle n'avait plus la tactique qui permettait de ne pas s'éloigner de quelqu'un. Avant, elle s'en fichait. Les autres, elle les repoussait. Mais lui, c'était tout le contraire. Elle aurait voulu qu'il ne parte jamais. Elle se rendait compte qu'il était plus facile de repousser les autres que de garder quelqu'un près de soi.
Elle essayait de déquortiquer ses pensées, le peu de mots qu'il disait. Elle essyaait juste de comprendre. De rapprocher le plus possible les sentiments qu'il disait ressentir, des siens. Elle trouvait sans difficultés, tout ce qu'il disait, elle le comprenait automatiquement. Elle n'avait aucun mal à le faire. Et ça lui faisait vraiment du bien d'être en accord total avec quelqu'un. Le sourire qui lui adressa était vraiment tendre, sans aucune méchanceté, au point qu'il la fit sourire malgré elle, sans se rendre compte, comme si elle avait une envie incontrôlable de lui rendre. « Oui ; plus ou moins. Je sais bien que toutes les bonnes choses ont une fin. Que le bonheur ou la quiétude ne durent qu’un temps. Mais, j’aurais préféré ne jamais connaître ces sentiments plutôt qu’on me les retire du jour au lendemain … » Elle le comprenait tellement que cela l'effrayait. Une fois de plus, il su mettre des mots sur les émotions qu'elle ressentait mais qu'elle n'arrivait pas à exprimer. C'était comme une sorte de don. D'un côté, elle en était ravie, car elle ne se sentait jamais aussi proche d'Aidan que dans ces moments là, lorsqu'ils se comprenaient parfaitement, lorsqu'ils n'avaient même pas besoin de parler pour savoir comment ils allaient. Et elle adorait cette proximité fusionelle, malgré elle. Elle s'en rendait compte un peu plus à chaque instant. Se rendre compte de quoi ? Du fait qu'elle s'était laissé allé, qu'elle avait laissé tomber les barrières et qu'elle n'arrivait plus à les rétablir. Encore fallait-il qu'elle en ai envie. Et sur ce sujet là, elle avait des doutes. Elle se rendait compte aussi qu'elle s'était attaché à Aidan depuis le début, qu'il était le garçon qui l'avait fasciné, qui avait attisé sa curiosité sans flancher. Comme si le fait qu'elle devait le connaitre, se rapprocher de lui, l'envie de tout savoir sur lui, était une évidence. Une vision globale, comme on disait. ça en était en même temps terrifiant, mais aussi révélateur. Elle répondit alors doucement :
« Je vois ce que tu veux dire. Comme si le fait de te les attribuer puis de te les retirer par la suite te faisait encore plus souffrir que si tu ne les avais jamais connu. Quitte à vivre sans voir grand chose, tu te dis qu'au moins tu auras vécu sans souffrir ... Vivre de belles choses, c'est toujours prendre le risque de souffrir par la suite. Mais tu sais, si tu n'avais jamais rien tenté, tu culpabiliserais à présent, tu te demanderais si le fait de ne jamais souffrir valait vraiment le coup de rater tout ça ... Ne serait ce que quelques infimes instants. »
Elle ne savait vraiment pas si c'était ce qu'il ressentait, mais elle essayait de présenter sa vision globale des choses, de son point de vue. Jusque là, celui d'Aidan et le sien avaient toujours été compatibles. Elle commençait à plus prendre confiance en ses instincts et à son vécu à présent. « Pardon ; ce que je dis n’a pas de réel rapport avec ta question. Je viens de m’en rendre compte. Pour te répondre sincèrement ; c’est un mélange de tes deux hypothèses. Donc oui ; c’est exactement ça. Je ne pouvais pas dire mieux. ». Un petit sourire tout mignon et chalereux s'étira sur ses lèvres. Elle voulait le rassurer. Elle ne voulait pas qu'il se rattrape sur ses paroles, elle voulait justement qu'il lui parle sans reflechir, qu'il lui dise ce qu'il pense, sans forcément répondre au cadre parfait de la question qu'elle venait de lui poser. Elle ne voulait pas qu'il s'escuse d'en avoir trop dit, d'avoir expliqué ce qu'il ressentait. C'était ce qu'elle cherchait, le mettre en confiance. Elle ne répondit rien, ne jugeant pas neccessaire qu'il s'escuse pour si peu. C'était bien, qu'il s'ouvre à elle. C'était ce qu'elle pensait, en tout cas. Elle n'aurait en tout cas jamais pitié d'Aidan. Non, les personnes dont elle avait pitié, c'était celles qui n'avaient rien apprit dans leur vie. Ceux qui n'avaient rien vécu, rien vu. Ceux qui se faisaient tout apporter par maman et papa sur un plateau d'argent dans l'heure qui suit. Ceux qui ne sauront jamais se débrouiller seul et qui chuteront à la première difficulté. Aidan était quelqu'un de fort, qui avait une grande maturité, du respect pour les autres. Il était quelqu'un qui connaissait ses limites, qui vivait comme il pouvait malgré ce qu'il avait vécu. Avec ses petits moyens. Quelqu'un qui, malgré tout ce qu'il ressentait, ne faisait de mal à personne, quelqu'un qui souffrait en silence. Elle ne voyait pas comment elle arriverait à trouver une raison qui lui donne envie d'avoir pitié de lui. Bien au contraire, elle ne pouvait qu'admirer son comportement. Elle voulait lui ouvrir les yeux. Lui montrait comment elle le voyait. Elle ne savait pas comment y parvenir, mais en tout cas, elle allait essayer. Elle ne fairait que ça. Elle avait le temps après tout, elle prendrait le temps qu'il faudra. Cette pensée, celle qui lui disait qu'ils avaient tout le temps, la fit sourire. Car, après tout, ce n'était pas un moment éphémère, juste une révélation, une révélation qui allait en enchainait d'autres. Ce n'était pas un moment qui allait disparaitre comme il était venu. Ce n'était pas un rêve qu'elle vivait là, c'était bien la réalité. Et c'était la première fois qu'elle pouvait affirmer qu'un moment de sa vie était plus beau que ses rêves. Bref, nous nous éloignons quelques peu du sujet de départ. » Code du règlement; « I love New-York »
Dernière édition par Jane K. Summers le Mer 14 Oct - 20:29, édité 10 fois |
| | | Beejay swan Travalovich
► Messages : 264
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| Sujet: Re: Jane Katherine Summers ♦♦ 00% Mer 14 Oct - 19:27 | |
| ouah tu prévoie grand 0.0 Bienvenue parmis-nous. et bonne chance avec ta fiche. | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Jane Katherine Summers ♦♦ 00% Mer 14 Oct - 19:28 | |
| En effet =P ça sera peut-être un peu trop, mais je préfère être prévenante (= Merci beaucoup !
Leighton ♥ |
| | | Dylan St-Laurent
L'EJACULATEUR ▬ JE DEVORE PAS JE SAVOURE
► Messages : 611 •• Ta proie : TOUTES LES FILLES SEXY , RICHE & POPULAIRE •• Humeur : J'AI ENVIE DE ... RIEN
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| Sujet: Re: Jane Katherine Summers ♦♦ 00% Mer 14 Oct - 19:30 | |
| welcome & BONNE CHANCE POUR TA FICHE
| |
| | | Vanina C. Hilton
STAFF ▬ alias beauty spy girl (a)
► Messages : 310 •• Ta proie : Trop pour toutes te les citer =$ •• Humeur : M a l a d e =$
| Sujet: Re: Jane Katherine Summers ♦♦ 00% Mer 14 Oct - 19:32 | |
| Welcome parmis nous & merci de ton inscription. Bonne chance pour ta fiche miss. J'ai hâte de pouvoir la lire (aa)
| |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Jane Katherine Summers ♦♦ 00% Mer 14 Oct - 19:51 | |
| Que de beaux vava sur ce forum *_* Merci Dylan =) Merci beaucoup Vanina |
| | | October G. Coldwell
► Messages : 139 •• Ta proie : Tu n'est pas encore passer ? C'est pour bientot alors ;) •• Humeur : Bonne comme toujours =D
It's My Life play with me, be my friend & hate me: i wanna be popular: (65/100) Fraternity & Sorority: Lambda Sigma Delta
| Sujet: Re: Jane Katherine Summers ♦♦ 00% Mer 14 Oct - 20:33 | |
| Bienvenue sur le forum | |
| | | Robyn J. Watson
► Messages : 54 •• Ta proie : Lui, ou bien lui, ou bien encore toi, qui sait ♥
| Sujet: Re: Jane Katherine Summers ♦♦ 00% Mer 14 Oct - 20:35 | |
| Bienvenue et bonne chance pour la suite de ta fiche =) J'adore ton avatar | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Jane Katherine Summers ♦♦ 00% Mer 14 Oct - 20:48 | |
| Merci October <33 Hoo merci beaucoup Robyn Au passage : Racheel (a) |
| | | Hayden B. Winschester
STAFF' ▬ I'm bringnin sexy back, Yeah
► Messages : 427 •• Humeur : Good!
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| Sujet: Re: Jane Katherine Summers ♦♦ 00% Jeu 15 Oct - 5:16 | |
| Bienvenue en tout cas c'est un méchant exemple de poste o.o Mdr. très bel avatar au passage! | |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: Jane Katherine Summers ♦♦ 00% Ven 16 Oct - 20:43 | |
| Merci Hayden <3 Mdr désolé il est un peu long, mais de toutes manières, je ne pense pas faire aussi long pendant l'année scolaire xD Donc vous êtes tranquilles x) Merci beaucoup |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Jane Katherine Summers ♦♦ 00% | |
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| | | | Jane Katherine Summers ♦♦ 00% | |
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